Presse

A paraître : « Valadon », une icône de l’art à l’honneur en librairie et sur les cimaises Publié le 15 janvier 2025, par La Gazette Drouot Après avoir consacré un livre à la galeriste Iris Clert, le critique et commissaire d’exposition Clément Dirié s’est penché sur la personnalité de Suzanne Valadon, alors que le Centre Pompidou vient d' inaugurer une rétrospective d’ampleur. Disponible depuis le 10 janvier aux Pérégrines dans la collection Icônes.

https://www.gazette-drouot.com/article/a-paraitre--3a--c2-ab-valadon--c2-bb-un-livre-sur-une-ic-c3-94ne-de-l-art-a-l-honneur-des-cimaises/54955

Dossier Suzanne Valadon par Philippe Lançon

« Dans une grande et belle rétrospective, le centre Pompidou à Paris montre comment l'artiste montmartroise a transformé le regard porté sur les femmes dans l'art en inventant une sorte de réalisme féministe. [...] »

https://www.liberation.fr/culture/suzanne-valadon-au-centre-pompidou-haut-les-corps-20250213_PXYV6GGYXNA2TJFWJQRFA7YHCU/

Le phénomène des "groupies", souvent perçu de manière réductrice et péjorative, est au cœur d'une réévaluation grâce à l'essai "Splendeurs et misères des groupies" de Sophie Bénard. Ce livre retrace l'histoire des groupies, depuis les admiratrices des gladiateurs romains jusqu'à celles des rockstars des années 60, tout en dénonçant les stéréotypes sexistes qui leur sont associés.  

https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-yann-barthes/videos/la-culture-la-figure-de-la-groupie-rehabilitee-11318989.html

Jacqueline Auriol, voilà un nom oublié que les éditions Les Pérégrines ont été bien inspirées de faire redécoller. [...]

Journal du dimanche, 4 mars 2025

Aux Éditions Les Pérégrines, dans la collection «lcônes», paraît un essai «polyphonique et d'unegrande inventivité formelle» signé par Adèle Cassigneul, agrégée, docteur en littérature britannique. Une lecture féministe de Woolf qui ne manque pas d'intérêt. [...]

Recension d'Alexis Broca

« Comme nous l'écrit la chercheuse Adèle Cassigneul dans un vigoureux essai en prose et vers libres, Virginia Woolf n'était pas "cohérente et non contradictoire/le petit doigt sur la couture de ses phrases" et dotée d'une "éthique/féministe/impeccable" : son féminisme, bien réel, est d'une autre époque. Mais son style, nous dit Cassigneul, refuse aussi "l'assignation réductrice que constitue l'écriture dite féminine".»

https://www.instagram.com/_adele_cassigneul_/p/DHGXx-YCG_K/?img_index=2

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• "Bardot, retour au mythe dans un ouvrage dédié" par Juliette Goudot 

Dans un remarquable “portrait kaléidoscopique”, l’historien du cinéma Antoine de Baecque déconstruit le mythe Bardot, ex-actrice qui fut considérée comme “féministe sans féminisme”. [...]

https://www.moustique.be/culture/livres-bd/2025/02/11/bardot-retour-au-mythe-dans-un-ouvrage-dedie-291744

Kathleen Wuyard-Jadot pour Le Vif  Weekend

Brigitte Bardot est un «paradoxe permanent», qu'Antoine de Baecque décrypte dans un livre dévoré par notre journaliste littéraire. [...]

https://weekend.levif.be/lifestyle/brigitte-bardot-paradoxe-permanent-chronique-icone/

Le Figaro - "Brigitte Bardot, l'Olympia d'Antoine de Baecque" par Éric Neuhoff

CRITIQUE - Le journaliste rend hommage à la comédienne dans un essai plein de digressions. Souvenirs.

Ça devait arriver. Antoine de Baecque a vu le jour l’année du Mépris . Fatalement, il était condamné à rendre hommage à Brigitte Bardot. C’est chose faite, avec ce petit essai en zigzags qui musarde, digresse, prend la tangente. « Mise bout à bout, cette femme au pluriel ressemble à un montage ultra-contemporain d’éclats de France. » Quel phénomène, il faut dire ! Elle débarqua comme une météorite. Et Dieu… créa la femme  (1956) marqua l’époque. Les superlatifs pleuvaient. Marguerite Duras la définissait ainsi : « Un cataclysme menaçant l’univers domestique. » [...]

https://www.lefigaro.fr/culture/brigitte-bardot-l-olympia-d-antoine-de-baecque-20250224

Valadon de Clément Dirié

“Suzanne Valadon est irréductible dans sa liberté, dans son émancipation, dans son vocabulaire plastique, dans son obstination à se définir que par elle-même, dans sa volonté de n’obéir qu’à ses propres règles”. La messe est dite par l’historien et critique d’art Clément Dirié, et largement justifiée par cet ouvrage à la biographique et sémiologique, rappelant l’importance, longtemps tue, de Suzanne Valadon (1865 - 1938), à qui le Centre Georges Pompidou consacre actuellement une passionnante rétrospective. [...]

https://www.vogue.fr/article/essais-a-lire-hiver-2025