Presse

« Célébrons le plaisir de procrastiner, cet art de remettre au lendemain des choses que l’on peut faire le jour même ou que l’on aurait dû faire l'avant-veille. On décrypte ce comportement qui souffre d’un jugement moral émanant de soi et des autres avec l’écrivain Emmanuel Villin. [...] »

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-vendredi-08-novembre-2024-8529552

« Un manifeste piquant, drôle, savant et ultra-documenté » [...]

https://www.rfi.fr/fr/podcasts/8-milliards-de-voisins/20241008-je-ferai-%C3%A7a-demain-l-art-de-procrastiner

“ [Une] réflexion joyeusement érudite sur l'art de prendre son temps sans le perdre.” [...]

« Prenant à contre-pied tous les livres de développement personnel - ça tombe bien, ce n'en est pas un -, l’auteur de Sporting Club se fait l'avocat de celles et ceux qui, à l'image de l'écrivain, pratiquent l'art de tout remettre à plus tard. [...] »

« Que le lecteur veuille bien me croire si je le dis. À force d'attendre la copie en me concédant un léger retard, mon rédacteur en chef a cru que je ne lui remettrais jamais mon article consacré à Petit éloge de la procrastination. Je n'osais pas lui avouer. Le fait est que j'avais égaré ce petit volume à la couverture verte dans la confusion de mes piles de livres reçus... [...] Après quatre romans drolatiques, l’auteur fait un pas de côté en célébrant l’art de ne rien faire qu’ont cultivé tant de génies en route vers l’excellence. »

À l'ère de la réactivité et de l'immédiateté, un éloge de la procrastination (le terme fait son entrée en 1935 dans le Dictionnaire de l'Académie française : « tendance à remettre au lendemain,à temporiser ») témoigne d'un salubre non conformisme. Quand certains agités du bocal la qualifient de « maladie du siècle », Emmanuel Villin la distingue « de la paresse, du je-m'en-foutisme, de la nonchalance ». [...]

"La force insoupçonnée d'être soeurs". A l'occasion de la parution de son essai Le Château de mes soeurs Blanche Leridon témoigne dans un long dossier sur le sujet pour le Femina Suisse. Enretien mené par la journaliste Laurène Ischi. 

C’est l’histoire d’Abdoul, un jeune couturier ivoirien qui a croisé la route d’Audrey Millet, chercheuse et historienne de la mode. Il se met alors à lui raconter tout son périple, d’Abidjan, en passant par le désert libyen, les esclavagistes, la vi0lence, les trafics et les ateliers de misères. Aujourd’hui, ils sont venus témoigner, ensemble, pour dénoncer ces pratiques inhumaines et impunies. [...]

https://www.instagram.com/konbini/reel/DAX8dzyOJ8y/

« Audrey Millet et Abdoul : exil et exploitation dans les coulisses de la mode » par Cyprien Caddeo

Elle est française, historienne de la mode. Lui, ivoirien, travaillait au noir dans un atelier textile en Italie. Ils ont coécrit un livre qui raconte la tragédie de l’exil et le drame de l’exploitation des clandestins. [...]

https://www.humanite.fr/politique/migrants/audrey-millet-et-abdoul-exil-et-exploitation-dans-les-coulisses-de-la-mode

Audrey Millet, historienne : « Le secteur de la mode est la machine à laver du trafic de drogue et de marchandises illicites » par Thomas Saintourens En racontant le parcours d’un tailleur ivoirien dans son livre « L’Odyssée d’Abdoul », la chercheuse a décrypté les rouages de l’économie criminelle, qu’elle analyse dans un entretien au « Monde ». [...]

https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/09/30/audrey-millet-historienne-le-secteur-de-la-mode-est-la-machine-a-laver-du-trafic-de-drogue-et-de-marchandises-illicites_6339426_3232.html