Alice Milliat, la pionnière des JO féminins enfin honorée (article de Benoît Hopquin)
La rameuse et nageuse française a bataillé pour imposer les premières olympiades féminines, en 1922. La venue des Jeux à Paris sort de l’oubli cette infatigable militante de l’égalité dans le sport.
C’est dans les grandes villes que l’on trouve le plus grand nombre de célibataires : vie hyperactive, anonymat et possibilité de rencontres qui semblent infinies, notamment grâce aux applications, nous rendent paradoxalement de plus en plus solitaire.
Dans les Armées, « une masculinité conquérante » (interview par Carine Janin)
Après les témoignages de violences sexuelles et le lancement, par le ministère, d’une mission d’inspection, la sociologue Camille Boutron décrypte la difficulté, pour l’institution, de se transformer. [...]
« Relations amoureuses : comment la ville a « uberisé » l’amour ? », interview de Pauline Weiss
« Pourquoi l’amour se vit-il différemment dans les grandes villes et comment cela se matérialise-t-il ? Dans "Foules sentimentales", un essai-enquête s’appuyant sur des données socio-économiques, la journaliste indépendante Pauline Machado mêle également son expérience personnelle à d’autres témoignages. [...] »
« Pourquoi est-il plus difficile de trouver l’amour en ville ? », article d'Audrey Vermorel
Vivre en ville ou à la campagne a-t-il une incidence sur nos relations amoureuses ? Paradoxalement, la densité de population, les modes de vie différents et les possibilités infinies des métropoles rendraient la quête de l’amour plus difficile.
« Ville ou campagne, est-ce que les relations amoureuses sont différentes ? », article de Julie Falcoz
« Comment les couples naissent à Paris, ville qui compte tant de célibataires ? Quid des histoires d'amour dans les milieux ruraux ? Et dans les banlieues ? Dans son essai "Foules sentimentales. Comment la ville impacte l'amour" Pauline Machado, journaliste indépendante, décrypte les différences de pratiques relationnelles selon le lieu d'habitation. [...]
« Mon objectif est de revisiter le fait guerrier en y portant un regard féministe, ce qui suppose de déconstruire en profondeur nos assomptions courantes sur la guerre. Sʹintéresser aux femmes combattantes est une façon dʹentamer ce processus de déconstruction. » Camille Boutron